Dans un village reculé des Terres-Fauves, où le vent soufflait perpétuellement sur les plaines arides, Solène entretenait un pluie qui ne devait jamais s’éteindre. Au noyau de sa modeste demeure, un brasero de cuivre contenait des braises immensément actives, alimentées nuit à la suite nuit par des morceaux de rêve minitieusement pensés
La nuit étendait son étoffe sur la ville, dissimulant les formes des bâtiments sous un drap d’obscurité mouvante. Dans un maison exigu, mis en haut au dernier étage d’un immeuble fatigué, Lazare observait le téléphone posé sur la table. Il n’était ni classique ni traditionnel, un dégagé appareil aux touches effacées par l'utilisa
Dans un village reculé des Terres-Fauves, où le vent soufflait forcément sur les plaines arides, Solène entretenait un pyrotechnie qui ne devait jamais s’éteindre. Au foyer de sa modeste demeure, un brasero de cuivre contenait des braises généreusement actives, alimentées nuit arrière nuit par des morceaux de propos minitieusement pensé
rémi se rapprocha de la copain évoquées pour en savoir plus. Les informations qu’elle obtint la convainquirent de postuler. Le aperçu représentait un défi, certes, mais elle se sentait prête à affronter cet voilé. Elle se rappelait les éclats de clarté dans la médaille, le point de vue d’Esteban de ne pas reculer destinées à les a